Un jeu d’échecs
Une leçon qui me parait très juste et qui parfois nous empêche d’avancer.
Dans ma jeunesse j’ai longtemps fait tout mon possible pour éviter l’échec, pour éviter à tout prix d’être en position d’échec. Souvent me mettant une pression trop grande à supporter.
Sauf qu’en réalité, l’échec fait partie de nous depuis notre plus jeune âge. Il est là et il n’est pas un frein, il est un indicateur à un instant T de ce que l’on ne fait pas bien. Le bébé va tomber des milliers de fois avant de savoir marcher correctement. Heureusement qu’il ne s’arrête pas à sa première chute.
D’ailleurs, quel signe de persévérance nous montre-t-il ?! Il est fascinant de voir un enfant tenter à l’infini, constamment sans jamais s’arrêter en serrant les dents s’il le faut. Les enfants n’ont pas de limite à ce niveau là, ils sont captable de demander 50 fois un gâteau jusqu’à l’épuisement des parents…

La maladie c’est un peu la même chose, il faut être particulièrement persévérant, ne pas s’arrêter à ce qui ne marche pas, parfois ne pas se décourager trop tôt non plus. C’est une science souvent inexacte que l’on ne maitrise pas totalement, mais il faut l’accepter avec humilité la plupart du temps.
Les enjeux ne sont évidement pas les mêmes, puisqu’ici on parle de notre vie, de souffrance, d’espoir, de beaucoup d’éléments avec une connotation émotive, physique et psychique. C’est délicat au quotidien, mais l’erreur est là pour nous guider parfois même dans l’ombre. Il ne faut pas forcément la craindre, je dirais qu’il faut apprendre à lui faire confiance dans les moments de doute. C’est un phare dans la nuit si l’on regarde attentivement.
Ne vous en voulez pas de rater, il vaut mieux oser que se taire et ne pas essayer. « La victoire appartient aux plus tenaces » (Napoléon 1er) !
A retenir : On lâche rien, on continue jusqu’au coup de sifflet final. Tant que le match continue on joue à fond, même si cela passe par de la défense !
Ps : je n’ai pas retrouvé le livre ci-dessous donc je ne pourrais pas vous dire la source. Mais c’est déjà assez parlant comme ça.

Moi, c’est Greg le mec qui a créé SociaLyme. Je partage avec vous mon expérience de malade à travers des articles et des conseils sur les maladies chroniques et la santé au naturel. Mon objectif ? Tout simplement vous offrir des pistes pour mieux vivre la maladie au quotidien.